mardi 6 octobre 2015

Principe de plaisir

Stephanie Smollett

3 commentaires:

  1. Entendu pas plus tard qu'hier soir sur le film "La tendresse" de Marion Hänsel.
    Ah Bourvil, et son petit bal perdu, Bourvil si tendre dans Fortunat d'Alex Joffé !...
    Catherine

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  2. J'ai trouvé le film touchant, le titre juste...

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  3. Je m'aperçois que je me suis trompée d'article pour déposer mon commentaire...
    Oui, « La tendresse » est un film charmant, « normal » dans le bon sens du terme. Et ça fait du bien. Un film où les petites filles prennent l'ascenseur toutes seules à la nuit tombée pour aller chercher du pain, et il ne leur arrive rien de mal... Une jeune fille arrive « troisième » à une compétition, et c'est bien, tout le monde est content (on n'est pas déçu parce qu'elle n'est pas « première »)... Le père, sans doute un peu jaloux quand son ex-femme prend un auto-stoppeur dit : « qu'est-ce qu'elle fout, c'est dangereux » et le fils répond : « ce qui est dangereux c'est quand plus personne n'aide personne ». Et on se dit qu'il a raison. Le type de l'auto-stop, il est juste sympa. A une aire d'autoroute, il trouve un camion qui l'emmènera plus loin. Alors il laisse un mot pour remercier, et dire qu'il l'a trouvée jolie, cette femme qui a bien voulu le prendre en stop... La nuit la mère regarde la montagne, et demande au technicien en scooter des neiges qui s'occupe de la piste si elle peut aller avec lui. Et oui, il veut bien l'emmener, et là-haut, elle trouve ça beau. Et c'est vrai, c'est beau, ça valait le coup... L'ex-mari demande « tu ne m'en as pas trop voulu quand je suis parti ? » et la femme répond « non, et puis maintenant j'aime bien ma solitude ». Tout est simple et tranquille.
    Catherine

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